Mieux structurer les pêches avec moins de morue
Actualités, Nouvelles, PêcheLa pêche traditionnelle à la morue en Basse-Côte-Nord est devenue une activité très marginale pour les pêcheurs côtiers en raison des faibles quotas de pêche autorisés.
La pêche traditionnelle à la morue en Basse-Côte-Nord est devenue une activité très marginale pour les pêcheurs côtiers en raison des faibles quotas de pêche autorisés.
De 2016 à 2018, les captures de homard ont augmenté de 300 % en Côte-Nord.
Sur une base annuelle et à des fins de conservation favorisant la reproduction de la ressource, le crevettier Jean-Pierre Élément souhaiterait que le MPO priorise dorénavant l’ouverture de la pêche le 15 avril au lieu du 1er et que sa fermeture ait lieu au plus tard le 15 octobre.
Ci-dessus, on peut apercevoir l’équipage du Pathfinder de Pêcheries Uapan livrant une quantité intéressante de crabe des neiges le 2 mai dernier, au quai de Sept-Îles.
Le stock de flétan atlantique semble en très bonne santé et les captures autorisées s’effectuent dans un délai assez rapide pour les pêcheurs nord-côtiers.
Jean-Marie-Jones, pêcheur côtier polyvalent de Lourdes-de-Blanc-Sablon, n’aura eu besoin que d’une semaine en juillet pour capturer son quota individuel temporaire de 6 000 livres de morue.
Premier pêcheur autochtone indépendant de crabe des neiges sur la Côte-Nord, Norbert Fontaine pose au centre de ses fils Edward Vincent Fontaine et Norbert Junior qui étudient pour devenir capitaine de pêche.
Les changements environnementaux, tel le réchauffement de l’eau, favorisent le déplacement des populations de homard vers le nord du Saint-Laurent.
Pour certaines usines, seule la transformation du crabe des neiges ne sera plus suffisante pour permettre aux employés d’accéder à l’assurance-emploi à l’avenir.
Jean-Pierre Element, crevettier de Sept-Îles.
Journal Pêche Impact
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